
Émile Cheysson, représentant méconnu de l’âge d’or de la datavisualisation
L’Album de statistique graphique paraît annuellement de 1879 à 1895, puis tous les deux ans de 1895 à 1899. Cette vingtaine d’albums sont considérés par
Dans cette rubrique, sont classés les billets du blog dont l’objet est en relation avec des cartes.
Il y aura donc toujours un rapport avec la géographie. Cependant, les fonds de carte servent ici de supports pour des représentations de données statistiques. La cartographie thématique est en effet un excellent moyen de donner du sens aux données, en mettant en lumière leur dimension spatiale.
Cela fait longtemps que les cartes ne se dessinent plus à la main. Les outils modernes sont toujours plus puissants pour permettre des traitements de plus en plus sophistiqués. L’enjeu essentiel réside dans le fait que la complexité des étapes préparatoires doit conduire à un résultat simple et éloquent pour l’utilisateur final.
Les technologies actuelles permettent en outre des créer des images animées. L’interactivité ajoute une dimension didactique supplémentaire, qui facilite la compréhension des phénomènes décrits.
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Un fond de carte (ou une couche) reste un objet mystérieux, dans son format comme dans son maniement numérique, pour qui n’est pas familier d’outils
Quand on regarde une carte mondiale, il n’est pas toujours simple d’identifier la projection utilisée. Bon ici, on comprend assez vite qu’il ne s’agit pas
Charles Joseph Minard est connu pour sa Carte figurative des pertes successives en hommes de l’armée française dans la campagne de Russie 1812-1813, « probablement